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Augusta de Schucani dont la peinture, on le voit, est célébration vibrante du monde,
on devrait dire des mondes sous tous leurs aspects, se prend aussi à dénoncer avec force et véhémence les injures que l'homme dans sa folie fait subir à la nature.
Ainsi dénonce-t-elle de manière plastique la marée noire et ses ravages qui privent l'oiseau, créature céleste, de ce qui est sa nature même, sa liberté première, sa vie même: l'envol et le vol.
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